Rien n'y fait, Rien n'y fait, y'a toujours ces histoires, comme un violon tout triste, qui rabote ma mémoire, comme j'ai humé son air, comme j'ai chanté sa gloire, elle me court dans le dos, elle me rue dans l'espoir,...
Mais à frémir sans cesse,
on y perd tout vouloir,
et comme la main à la fesse,
un sursaut dans le noir,...
Rien n'y fait, Rien n'y fait, on a beau tout voler, tout plus haut, tout plus fort, sans une once de hasard, quand on court un peu trop, quand c'est l'air qui vous manque, on s'attrape par la peau, on soulève son chapeau,...
Mais à frémir sans cesse,
on y perd tout vouloir,
et comme la main à la fesse,
un sursaut dans le noir,...
Rien n'y fait, Rien n'y fait, moi je n'demande rien, y'a plus d'ours à dompter, plus d'amour à donner, lors je vais m'en aller, me cacher dans un coin, me tuer, me tuer, et rev'nir le lend'main,...
Mais à frémir sans cesse,
on y perd tout vouloir,
et comme la main à la fesse,
un sursaut dans le noir,...
Texte et musique Alexandre George ? mai 2000